Cette amnistie réduit la peine de prison de l’ex-premier ministre, revenu d’exil en août 2023 et toujours en liberté conditionnelle, de huit à un an, au lendemain de la nomination sa fille a à la tête du gouvernement.
Cette amnistie réduit la peine de prison de l’ex-premier ministre, revenu d’exil en août 2023 et toujours en liberté conditionnelle, de huit à un an, au lendemain de la nomination sa fille a à la tête du gouvernement.