Londres met en avant le risque qu’elles soient utilisées à Gaza, dans le cadre de « sérieuses violations du droit humanitaire international ». Si la mesure est symbolique, les exportations britanniques ne représentant que 1 % des importations israéliennes d’armes, c’est un camouflet pour l’Etat hébreu de la part d’un allié indéfectible.